Le 3 septembre 2010 - Carhaix - Météo - Dicton - Éphéméride -

Publié le 3 septembre 2010 par TRIFINA L'escargote Bretonne

Le 3 septembre 2010 -

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Le saint du jour

Grégoire

Grégoire Ier

Grégoire Ier, dit le Grand, auteur des Dialogues (né vers 540, mort le 12 mars 604), devient le 64e pape en 590.Docteur de l'Église, il est l'un des quatre Pères de l'Église d'Occident, avec saint Ambroise, saint Augustin et saint Jérôme. Son influence durant le Moyen Âge fut considérable.

C'est à lui que l'on doit le nom de chants grégoriens. Depuis le concile Vatican II, l'Église catholique le célèbre le 3 septembre (auparavant le 12 mars).

Débuts

Grégoire naquit à Rome vers 540, au moment de la reconquête de l'Italie par Justinien, d'une famille chrétienne et patricienne, de la branche Anicia. Son père, le sénateur Gordien, est administrateur d'un des sept arrondissements de Rome. Deux de ses sœurs sont honorées saintes (Tharsilla et Æmiliane), et il avait parmi ses ancêtres le pape Félix III. Sa mère, Sylvie, est elle aussi honorée sainte[1].

Il est éduqué dans le climat de renouveau culturel suscité en Italie par la Pragmatica sanctio, et excelle, «selon le témoignage de Grégoire de Tours, dans l'étude de la grammaire, de la dialectique et de la rhétorique[2]». En 572, il est nommé préfet de la ville, ce qui lui permet de s'initier à l'administration publique, et devient ainsi le premier magistrat de Rome. Il utilise ses aptitudes pour réorganiser le patrimoine de Saint-Pierre. En 574, il souscrit à l'acte par lequel Laurent, évêque de Milan, reconnaît la condamnation des «Trois Chapitres» par le IIe Concile de Constantinople de 553.

Vers 574-575, il adopte la vie monastique et transforme en monastère dédié à saint André la demeure familiale située sur le mont Cælius. Il nomme pour abbé le moine Valentien. On ne sait pas si Grégoire assuma personnellement la direction de la communauté. Ayant hérité de grandes richesses à la mort de son père, il fonde aussi 6 monastères en Sicile. On ne sait pas si Grégoire et ses moines adoptèrent la règle de saint Benoît, mais « on ne saurait cependant douter de l'harmonie fondamentale existant entre l'idéal monastique de Benoît et celle du grand pontife.[2] »
À Constantinople

Grégoire est ordonné diacre par le pape Pélage II (ou peut-être par Benoît Ier, mais c'est moins probable) avant d'être envoyé à Constantinople comme apocrisiaire (ambassadeur permanent, ou nonce). Il s'y rend accompagné de quelques frères, et y résidera jusqu'à la fin de 585 ou le début de 586, « sans songer, d'ailleurs, à apprendre le grec ni à s'initier à la théologie orientale[3] ». Cela montre combien le fossé entre la culture orientale et latine de la chrétienté est déjà grand.

C'est là qu'il rédigea sa plus importante œuvre exégétique, l'Expositio in Job. Il se fit aussi remarquer par une controverse avec Eutychius, le Patriarche de Constantinople, à propos de la résurrection des corps. En effet, Grégoire défendait la thèse traditionnelle de l'Église sur la résurrection des corps, tandis qu'Eutychius «appliquait au dogme catholique le principe de l'hylémorphisme aristotélicien[2]».

À la demande du pape, Grégoire attira aussi l'attention de l'empereur Byzantin Maurice à propos de l'invasion lombarde en Italie.

De retour à Rome, il reprit la vie monastique. Il joua aussi le rôle de secrétaire et conseiller de Pélage II. À ce titre, il rédige l'Épitre III de Pélage, où il soutient la légitimité de la condamnation des Trois Chapitres par le concile de Constantinople de 553.

Pélage II meurt de la peste le 7 février 590.
Pape

Grégoire « est élu pape par l'acclamation unanime du clergé et du peuple[3] ». Il essaie de se dérober, faisant même appel à l'empereur, mais c'est en vain. Il est consacré pape à Saint-Pierre, le 3 septembre 590. Cet épisode est raconté dans la Légende dorée.
Le pape Grégoire Ier

Au même moment , meurt le roi des Lombards Authari. Agilulf, arien, lui succède et conformément à la coutume, il épouse la veuve de son prédécesseur Théodelinde de Bavière. Celle-ci se révélera une alliée influente du nouveau pape et amènera le roi au catholicisme.

Le pontificat de Grégoire Ier se déroule dans un contexte fort difficile. La ville est ravagée par la peste, le Tibre déborde. Il doit donc à la fois veiller à rassurer les fidèles (certains croient que la fin du monde est arrivée) et utiliser ses talents d'administrateur pour veiller au ravitaillement de la ville. Dans l'ensemble de son pontificat, on notera une importante réforme administrative à l'avantage des populations de campagne, ainsi que la restructuration du patrimoine de toutes les églises d'Occident, afin d'en faire « des témoins de la pauvreté évangélique et des instruments de défense et de protection du monde agricole contre toute forme d'injustice publique ou privée[4]. »

Durant son pontificat, Grégoire adopte une « attitude d'attente et de négociation avec les Lombards[5] ». Non satisfait des mesures prises par l'empereur Maurice («J'attends plus de la miséricorde de Jésus de qui vient la justice que de votre piété.» écrit-il à l'empereur[6]), il prend lui-même les choses en main, en signant en 595 une trêve avec Agilulf. En 598, il favorise une nouvelle trêve, entre l'exarque Callinicus et le roi lombard. Maurice trouve ce comportement «prétentieux»[7]. Grégoire se défend en argumentant : « Si j'avais voulu me prêter à la destruction des Lombards lorsque j'étais apocrisiaire à Constantinople, ce peuple n'aurait plus aujourd'hui ni roi, ni comtes; il serait en proie à une irrémédiable confusion; mais, comme je crains Dieu, je n'ai voulu me prêter à la perte de qui que ce soit. »[8] Grâce à ses contacts avec Théodelinde, la reine franque des Lombards, un mouvement progressif de conversions s'amorça parmi ceux-ci[9].

Le geste le plus important de Grégoire Ier par rapport à l'évangélisation est l'envoi en mission, en 596, de saint Augustin de Cantorbéry, accompagné de quarante moines du monastère du mont Cælius, afin de restaurer le christianisme en Grande-Bretagne. En effet, sous l’empire, la Bretagne avait été quelque peu christianisée, mais les Saxons avaient envahi l’île et repoussé vers l’ouest les chrétiens bretons[10]. Grégoire fait aussi acheter de jeunes esclaves anglais pour les faire élever dans des monastères. Le grand historien Edward Gibbon dira : « César avait eu besoin de six légions pour conquérir la Grande-Bretagne. Grégoire y réussit avec quarante moines[11] » Dans une lettre adressée à un missionnaire en partance pour la Grande-Bretagne païenne, en 601 , Grégoire Ier donnait cet ordre : « Les temples abritant les idoles dudit pays ne seront pas détruits ; seules les idoles se trouvant à l’intérieur le seront [...]. Si lesdits temples sont en bon état, il conviendra de remplacer le culte des démons par le service du vrai Dieu.[réf. souhaitée]» Augustin devint le premier archevêque de Cantorbéry. (voir aussi Christianisme irlandais)
Mort
Vitrail représentant Grégoire Ier

Grégoire Ier mourut le 12 mars 604 et fut inhumé au niveau du portique de l'Église Saint-Pierre de Rome. Cinquante ans plus tard, ses restes furent transférés sous un autel, qui lui fut dédié, à l'intérieur de la basilique, ce qui officialisa sa sainteté.
Écrits

Grégoire a laissé de nombreux écrits, dans divers domaines: un grand nombre de lettres, des commentaires et homélies sur la Parole, et quelques autres écrits.

Il est spécialement connu pour être l'auteur des Dialogues (plusieurs volumes de la collection « Sources Chrétiennes », éd. Cerf). Il nous y rapporte en son livre II les seuls informations biographiques que nous ayons sur saint Benoît, fondateur de la vie bénédictine et figure majeure du monachisme occidental.
Correspondance

Le Registrum epistolarum est composé de 814 lettres réparties en 14 livres, qui correspondent aux années du pontificat grégorien (590-604)[12]. C'est une composition assez hétéroclite: lettres spirituelles, lettres officielles à lire en public, ordonnances portant sur des questions de gouvernement, formulaires de nomination et de confirmation de charges, formulaires d'autorisation et de privilège... Cependant, certaines lettres permettent de tracer un portrait assez riche et précis du monde rural de la fin du VIe siècle.
Commentaires et homélies

L'Expositio in Job ou Moralia in Job (morales sur Job) est son œuvre exégétique la plus importante. Commencée à Constantinople, d'abord sous forme d'entretiens destinés aux frères de sa communauté, puis poursuivie sous forme de dictée, elle fut réorganisée et achevée à Rome, vers 595. Elle comporte 35 livres. «Par une œuvre qui est plus une catéchèse biblique qu'une construction scientifique, il a tracé les lignes essentielles de la théologie morale classique.»[13].
Grégoire le Grand par maître Théodoric, couvent Sainte-Agnès, Prague

Homiliæ in Evangelium est un recueil de 40 homélies reproduisant sa prédication durant les 2 premières années de son pontificat. «Elles constituent un modèle de prédication populaire, remplie d'enseignement moral et mystique exposé sous une forme simple et naturelle, renforcé souvent par des exemples s'adressant à la grande masse des fidèles[14].» P. Batiffol les considère comme «des modèles de l'éloquence pastorale et la prédication liturgique."[15]

Homeliæ in Hiezechihelem sont 22 homélies sur le livre d'Ézéchiel, rédigées vers 593–594, alors qu'Agilulf menace d'assiéger Rome. Elles sont d'un niveau plus élevé que les homélies sur l'évangile. Le premier livre, dédié à Marinien de Syracuse, traite du charisme prophétique. Il s'adresse principalement aux prédicateurs et aux évêques. Le second livre, qui s'adresse aux moines de Coelius, commente la structure du Temple de Jérusalem. Par la symbolique des nombres, il explique la voie d'accès au silence contemplatif.

Plusieurs autres écrits n'ont pas été rédigés directement de la main de Grégoire. Ainsi, Expositiones in Canticum Canticorum, concernant les 8 premiers verset du texte du Cantique des cantiques, et in librum primum Regum, qui commente 1S 1-16, sont deux textes qui ont été dictés de mémoire par le moine Claude, d'après ce qu'il avait entendu de Grégoire. L'attribution de ces œuvres à Grégoire est d'ailleurs contestée par de Vogüé dans l'édition des Sources Chrétiennes. Elles seraient l'œuvre de Pierre de Cava. [16]

D'autres commentaires, sur les proverbes, les prophètes, l'Heptateuque, ont été rédigés de la même manière. Ces écrits sont malheureusement perdus aujourd'hui.
Autres écrits
Représentation du XVII e siècle

La réforme liturgique de Grégoire est décrite dans le livre des sacrements. «Il rassembla en un seul livre le Codex de Gélase concernant la liturgie de la messe. Il y retrancha beaucoup de choses, en modifia quelques-unes et en ajouta certaines. Il institua ce livre: Livre des sacrements[17].» Nous ne possédons cependant pas la version originale. Celle que l'on a actuellement est le texte envoyé par Adrien Ier à Charlemagne, vers 785-786, et contient plusieurs enrichissements reflétant des ajouts faits entre temps à la pratique liturgique usuelle. La tradition attribue aussi à Grégoire un Antiphonarium.

La Regula pastoralis est adressée à Jean de Ravenne. «Dans la Règle, divisée en quatre parties, Grégoire justifie ses réticences à assumer la charge pastorale, et il met en lumière l'élévation de la dignité épiscopale; il souligne les versus de pasteur.» (p. 1105) La troisième partie décrit de quelle manière on doit éduquer les différentes catégories de fidèles. La Règle exhorte l'évêque à un renouvellement personnel continu, afin que sa parole soit toujours incisive et efficace. L'ouvrage est traduit en grec dès 602 et sert de livre de base de la formation du clergé au Moyen Âge. Il demeure un classique de la vie spirituelle.

Les Dialogues témoignent de la sainteté d'évêques, moines, prêtres et gens du peuple, contemporains à Grégoire. Ils relatent des miracles opérés par de saints personnages en Italie. Le second livre constitue la principale source biographique que l'on a sur Benoît de Nursie. Le quatrième livre évoque des manifestations extraordinaires démontrant l'immortalité de l'âme humaine.
Penseur spirituel et théologien
Réforme liturgique
Légende de l'origine du chant grégorien, d'après le frontispice de l'édition vaticane: Le très Saint Grégoire se répandait en prières, pour que le Seigneur lui accorde la musique à donner sur les textes liturgiques. L'Esprit Saint descendit alors sur lui sous la forme d'une colombe, et son cœur fut éclairé. Il commença aussitôt à chanter, et voici comment:... (Suit l'Introït du premier dimanche de l'Avent.)
Grégoire Ier dictant un chant
Illustration d'un antiphonaire du XIe siècle.

Grégoire est la figure éponyme de réformes liturgiques qu'il ne réalisa probablement jamais avec l'ampleur qu'on lui attribua par la suite (voir Histoire du rite romain). Le chant grégorien qui porte son nom ne lui doit rien directement. Cette attribution est la conséquence d'une légende hagiographique racontant comment il composa les propres de la Messe. En réalité, le chant grégorien résulte des réformes de Chrodegang de Metz et de Charlemagne, qui aligna le chant gallican sur la pratique romaine un siècle plus tard.
Influence sur la théologie

Grégoire propose la mise en place d'une pédagogie chrétienne «où la formation grammaticale, dialectique et rhétorique se baserait, non plus sur des textes profanes, comme cela se faisait encore de son temps, mais sur des textes sacrés[18].» Cette voie sera par la suite suivie par d'autres, notamment Isidore de Séville, Julien II de Tolède et Bède.

Ses ouvrages théologiques resteront, jusqu'à la fin du Moyen Âge, l'une des autorités les plus souvent citées dans la prédication et l'enseignement, où il prend place après saint Augustin d'Hippone, dont il simplifie parfois la pensée, non sans l'enrichir d'autre part en l'adaptant à la mentalité des temps nouveaux. Il n'est cependant pas un théologien original, en ce sens qu'il reprend surtout la doctrine commune. C'est que l'époque des grandes controverses dogmatique est passée. «Il reprend l'enseignement d'Augustin sur la grâce, la prédestination, le sort des enfants morts sans baptême ; il reprend et précise la catéchèse traditionnelle sur les sacrements, la discipline pénitentielle, les bonnes œuvres, le culte des saints[19].»

D'un point de vue exégétique, il utilise les procédés de la rhétorique classique. Bien qu'il ne néglige pas le sens littéral de l'Écriture, il le dépasse pour s'élever à l'allégorie. Ainsi, dans son homélie sur Ézéchiel, il s'attarde principalement sur la cause ou l'hypothèse dont l'objet sont les personnes ou les faits historiques. Il ne parle pas de la prophétie, mais du prophète. En général, dans son discours, «les antinomies se résolvent grâce à l'unité qui permet de dire que l'Église est à la fois visible et invisible, humaine et divine, active et contemplative, présente dans le monde et plongée dans la réalité future[20].» Mais Grégoire est avant tout un moraliste. «Par une œuvre qui est plus une catéchèse biblique qu'une construction scientifique, il a tracé les lignes essentielles de la théologie morale classique[19].» D'ailleurs, le fait que lExpositio in Job ait reçu, de son vivant, le titre de Moralia in Job en témoigne. On lui doit, dans un tableau large et divers de la morale chrétienne et des finalités de la vie mystique, une approche assez humaniste de l'équilibre personnel que le chrétien doit trouver entre les exigences ascétiques de la contemplation et les besoins sociaux d'une vie active. Sa pensée a également contribué à une classification des vices et vertus, ainsi que des dons du Saint-Esprit, classification dont les prédicateurs et les artistes du Moyen Âge feront grand cas.

Il reprend la classification des rêves de Macrobe et la transforme en distinguant les rêves dus à la nourriture et à la faim, ceux envoyés par les démons, et ceux d'origine divine[21].

Considéré comme un des Pères de l'Église, il a également toujours été compté parmi les Docteurs de l'Église.
Attributs

Saint Grégoire est très présent dans l'iconographie des manuscrits et des monuments figurés, où il est, avec saint Pierre, le pape par excellence. Il est représenté en habits pontificaux; parmi ses attributs, la tiare, la colombe de l'Esprit Saint qui inspire ses écrits, et le livre en tant que docteur de l'Eglise. [22]

Notes et références

   1. ↑ Encyclopædia Universalis, vol. 8, Paris, 1968, p. 10.
   2. ↑ a, b et c Dictionnaire encyclopédique du christianisme, V. 1, Paris, Cerf, 1990, p. 1102.
   3. ↑ a et b Encyclopædia Universalis, vol. 8, Paris, 1968, p. 11.
   4. ↑ Dictionnaire encyclopédique du christianisme, V. 1, Paris, Cerf, 1990, p. 1106.
   5. ↑ Dictionnaire encyclopédique du christianisme, V. 1, Paris, Cerf, 1990, p. 1103.
   6. ↑ Des «Homélies sur l’Évangile» de saint Grégoire le Grand (Hom. 14, 3-6; PL 76, 1129-1130) [archive]
   7. ↑ Ep. V, 36
   8. ↑ Ep. V, 6
   9. ↑ Jean Mathieu-Rosay, Chronologie des papes, Marabout, 1988, p. 101.
10. ↑ Thomas Cahill. Dernier chapitre de How the Irish Saved Civilization, Éd. Doubleday Books, NY, 1994
11. ↑ Gallica Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain, page 275 [archive]
12. ↑ Ce sont les données du dictionnaire encyclopédique du christianisme ancien. L’Encyclopaedia Universalis mentionne plutôt 13 livres et 854 lettres
13. ↑ Encyclopaedia Universalis, vol. 8, Paris, 1968, p. 11.
14. ↑ Dictionnaire encyclopédique du christianisme, V. 1, Paris, Cerf, 1990, p. 1104.
15. ↑ Batiffol (P.), Saint Grégoire le Grand", éditions Le Coffre, p.69-76.
16. ↑ Commentaire sur le premier livre des Rois, Tome III, III, 38-IV, 78, [attribué à] Grégoire le Grand, [restitué à] Pierre de Cava ; introduction, texte, traduction et notes par Adalbert de Vogüé, Paris, 1998 (Sources Chrétiennes, n°432).
17. ↑ Jean Diacre, Vita Greg. 2, 17
18. ↑ Dictionnaire encyclopédique du christianisme, vol. 1, Paris, Cerf, 1990, p. 1106.
19. ↑ a et b Encyclopædia Universalis, vol. 8, Paris, 1968, p. 11.
20. ↑ Dictionnaire encyclopédique du christianisme, vol. 1, Paris, Cerf, 1990, p. 1107.
21. ↑ Dialogues, livre IV
22. ↑ Rosa Giorgi, Les Saints, Guide des Arts Hazan, 2003 (ISBN 2-85025-856-3)

Bibliographie

    * Sofia Boesch Gajano, Grégoire le Grand, Le Cerf, Coll. Cerf histoire, 2007, 230 pages.
    * Jacques de Voragine, La Légende dorée, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 2004, publication sous la direction d'Alain Boureau.

Liens

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Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Grégoire Ier.
Articles connexes

    * Missions chrétiennes en Europe
    * Chant grégorien
    * Grégoire de Nazianze
    * Grégoire de Nysse
    * Liste des saints de la Légende dorée
    * Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand
    * Messe de Saint Grégoire
    * San Gregorio da Sassola

Liens externes

    * Homélies sur les Évangiles pour le temps de l’Avent, des Gésimes et du Carême
    * Saint Grégoire le Grand et le chant grégorien, GregEdit: logiciel de grégorien
    * Catéchèse de Benoît XVI sur Grégoire le Grand
    * Le chapitre Saint Grégoire le Grand de Notre-Dame de Chrétienté
    * Manuscrit de la fête de Saint Grégoire Sorbonne

http://fr.wikipedia.org/wiki/Gr%C3%A9goire_Ier

Fête :

le 3 septembre 2010

3 septembre

Le 3 septembre est le 246e jour de l'année (247e en cas d'année bissextile) du calendrier grégorien. Il reste 119 jours avant la fin de l'année.

C'était généralement le jour de la cardère, 17e jour du mois de fructidor dans le calendrier républicain français.

Événements

    * 301 : Fondation de Saint-Marin.
    * 590 : Élection du pape Grégoire Ier.
    * 863 : Bataille de Poson.
    * 1189 : Couronnement de Richard Cœur de Lion, roi d'Angleterre.
    * 1260 : Bataille d'Aïn Djalout.
    * 1643 : Bataille de Carthagène
    * 1650 : Bataille de Dunbar.
    * 1651 : Bataille de Worcester.
    * 1759 : Expulsion des jésuites du Portugal.
    * 1783 : La Gambie devient possession britannique. La France récupère ses comptoirs sur les côtes du Sénégal.
    * 1791 : L'Assemblée constituante de 1789 fait de la France une monarchie constitutionnelle.
    * 1795 : Combat de la Bataillère
    * 1843 : Coup d'État du 3 septembre 1843 en Grèce.
    * 1856 : Affaire de Neuchâtel.
    * 1878 : Collision entre le paquebot Princess Alice et le charbonnier Bywell Castel sur la Tamise fesant 640 morts.
    * 1897 : Naissance de l'Organisation sioniste mondiale.
    * 1914 : Élection du pape Benoît XV.
    * 1928 : Découverte de la pénicilline G.
    * 1939 :
          o Déclaration de guerre par la France et le Royaume-Uni à l'Allemagne.
          o Dimanche sanglant de Bydgoszcz.
    * 1943 : Débarquement allié à Reggio de Calabre.
    * 1944 : Libération de Bruxelles, Lille, Lyon et Saint-Étienne.
    * 1964 : Ratification du Wilderness Act par le président américain Lyndon B. Johnson
    * 1971 : Indépendance du Qatar.
    * 1972 : Élections législatives au Cambodge; le Parti social républicain proche du pouvoir rafle la totalité des sièges.
    * 1976 : La sonde Viking-2 se pose sur Mars.
    * 2004 : Prise d'otages de Beslan.

Naissances

    * 1034 : Go-Sanjō, empereur du Japon († 1073).
    * 1499 : Diane de Poitiers, favorite du roi de France Henri II († 1566)
    * 1568 : Adriano Banchieri, compositeur italien († 1634)
    * 1643 : Lorenzo Bellini, anatomiste italien († 1704)
    * 1664 : Paul Sigismond de Montmorency-Luxembourg, premier maréchal du Luxembourg († 1731)
    * 1695 : Pietro Locatelli, violoniste et compositeur italien († 1764)
    * 1704 : Joseph de Jussieu, botaniste français († 1779).
    * 1707 : Johann-Peter Süssmilch, pasteur et démographe prussien.
    * 1710 : Abraham Trembley, naturaliste suisse.
    * 1724 : Guy Carleton, militaire et administrateur colonial britannique († 1808).
    * 1728 : Matthew Boulton, industriel britannique
    * 1734 : Joseph Wright of Derby, peintre britannique.
    * 1735 : Jérôme Champion de Cicé, religieux et homme politique français
    * 1736 : Matthias Klostermayr, voleur allemand.
    * 1744 : Henri Admirat, personnage de la Révolution française
    * 1745 : Charles Victor de Bonstetten, littérateur suisse
    * 1750 :
          o Jacques-François Menou, général français
          o Arthur Dillon, général français
    * 1757 : Charles-Auguste de Saxe-Weimar-Eisenach, grand-duc de Saxe-Weimar-Eisenach.
    * 1765 : Jean Conan, écrivain français.
    * 1766 : Charles de Lacretelle, dit Lacretelle le jeune, avocat, journaliste et historien français.
    * 1780 : Heinrich Christian Schumacher, astronome, géodesiste et éditeur allemand.
    * 1781 : Eugène de Beauharnais, vice-roi d'Italie († 21 février 1824)
    * 1782 : Christian Ludwig Nitzsch, zoologiste allemand
    * 1790 : Louis-Claude Malbranche, peintre et lithographe français
    * 1791 : John Curtis, entomologiste et artiste britannique
    * 1801 : Hermann von Meyer, géologue et paléontologiste allemand († 21 avril 1869)
    * 1803 : Grandville, dessinateur, aquarelliste, caricaturiste et lithographe français.
    * 1805 :
          o Jules Leroux, imprimeur et député français
          o Isaac S. Pennybacker juriste et politicien américain
    * 1806 : Charles Lassailly, écrivain français.
    * 1810 :
          o Ferdinand-Philippe, duc d'Orléans.
          o Paul Kane, peintre irlandais.
    * 1814 : James Joseph Sylvester, mathématicien et géomètre britannique.
    * 1818 : Karl von Vogelsang, journaliste autrichien
    * 1822 : Gabriel Milin, militant bretonnant
    * 1823 : Nevil Story Maskelyne, photographe et homme politique britannique.
    * 1829 : Adolph Fick, physiologiste et ophtalmologiste allemand.
    * 1840 : Léon Gérard, homme politique belge et militant wallon
    * 1851 : Olga Constantinovna de Russie, reine de Grèce
    * 1856 : Louis Sullivan, architecte américain
    * 1859 : Jean Jaurès, homme politique français († 31 juillet 1914).
    * 1860 : Jan Willem Bowdewyn Gunning, zoologiste sud-africain
    * 1863 : Hans Aanrud, écrivain norvégien
    * 1867 : Oskar Neumann, ornithologue allemand
    * 1869 :
          o Fritz Pregl, chimiste autrichien, Prix Nobel de chimie en 1923
          o Miloje Vasić, archéologue serbe.
    * 1870 : Maurice Viollette, homme politique français
    * 1874 : Carl Stormer, physicien norvégien.
    * 1875 : Ferdinand Porsche, ingénieur et industriel allemand.
    * 1877 : Jean-Marie Perrot, prêtre et militant indépendantiste breton
    * 1878 :
          o Hanuš Jelínek, écrivain, poète et traducteur tchèque
          o Dorothea Douglass, joueuse de tennis américano-britannique
    * 1882 :
          o Max Vollmberg, peintre allemand
          o Johnny Douglas, joueur de cricket britannique
    * 1884 : Solomon Lefschetz, mathématicien américain
    * 1887 : Max Brauer, homme politique allemand
    * 1888 : Nereu de Oliveira Ramos, avocat et homme politique brésilien.
    * 1890 : Patrick H. O'Malley Jr., acteur américain
    * 1894 : Marie Dubas, chanteuse de music-hall et comédienne française
    * 1896 : Yvonne Boachon-Joffre, romancière française
    * 1897 :
          o Sally Benson, scénariste américaine
          o Cecil Parker, acteur britannique
    * 1898 :
          o André Meyer, banquier d'investissement français
          o Alves dos Reis, faussaire portugais
    * 1899 : Frank Macfarlane Burnet, virologue australien, Prix Nobel de physiologie ou médecine en 1960
    * 1900 :
          o Maurice Dobb, économiste britannique.
          o Urho Kekkonen, homme politique finlandais
    * 1901 :
          o Jules Ramarony, homme politique français
          o Eduard van Beinum, chef d'orchestre néerlandais
    * 1902 :
          o Mantan Moreland, acteur américain
          o Christiane Delyne, actrice française
    * 1903 : Georges Flamant, acteur français
    * 1904 :
          o André Jacquemin, peintre et graveur français.
          o Pierre Ferri, homme politique français
    * 1905 : Carl David Anderson, physicien, Prix Nobel de physique en 1936.
    * 1907 : Loren Eiseley, anthropologue américain
    * 1908 :
          o Lev Pontriagine, mathématicien soviétique
          o Salim, peintre indonésien
          o Matthew Black, professeur de critique biblique
    * 1910 : Maurice Papon, homme politique et haut-fonctionnaire français († 17 février 2007).
    * 1913 : Alan Ladd, acteur américain († 29 janvier 1964).
    * 1915 :
          o Enrico Zoffoli, religieux, philosophe et théologien italien († 16 juin 1996).
          o Memphis Slim, chanteur et pianiste américain († 24 février 1988).
          o Knut Nystedt, compositeur, organiste, chef de chœur et pédagogue norvégien .
    * 1916 : Doug Bentley, joueur de hockey sur glace canadien († 24 novembre 1972).
    * 1920 :
          o Chabuca Granda (Maria Isabel Granda Larco), chanteuse péruvienne. († 8 mars 1983).
          o Marguerite Higgins, journaliste et correspondante de guerre américaine
    * 1921 : Ruth Orkin, photographe américaine († 16 janvier 1985).
    * 1922 :
          o Motomu Ida, réalisateur et scénariste japonais.
          o Burt Kennedy, réalisateur, scénariste, producteur et acteur américain († 15 février 2001).
    * 1923 : Terry Wilson, acteur américain († 30 mars 1999).
    * 1924 :
          o Guy Chanfrault, homme politique français († 21 mai 2005).
          o Henri Debluë éditeur et écrivain suisse († 14 octobre 1988).
    * 1925 :
          o Wally Albright, acteur américain († 7 août 1999).
          o Claude Pourtout, carrossier automobile français († 20 juin 2004).
          o Bengt Lindström, artiste suédois († 29 janvier 2008).
    * 1926 :
          o Irène Papas, actrice grecque.
          o Alison Lurie, romancière et universitaire américaine
          o Richard Markowitz, compositeur américain de musiques de films († 6 décembre 1994).
    * 1927 :
          o André Fourié, militaire français († 13 décembre 1953).
          o Ales Adamovitch, écrivain biélorusse († 26 janvier 1994).
    * 1928 :
          o Marianne Kiefer, actrice allemande († 4 janvier 2008).
          o Gaston Thorn, homme politique luxembourgeois († 26 août 2007).
    * 1929 :
          o Armand Vaillancourt, sculpteur canadien.
          o Carlo Clerici, coureur cycliste suisse († 28 janvier 2007).
    * 1931 :
          o Guy Spitaels, homme politique belge.
          o Fritz J. Raddatz, écrivain allemand.
          o Dick Motta, entraîneur de américain basket-ball
          o Samir Amin, écrivain égyptien
          o Albert DeSalvo, tueur en série américain († 25 novembre 1973).
          o Paulo Maluf, homme politique brésilien
    * 1933 :
          o Lloyd Price, chanteur américain.
          o Jeffrey Goldstone, physicien britannique
          o Pierre Maguelon, comédien et acteur français († 10 juillet 2010).
    * 1934 :
          o Xavier Darasse, organiste et compositeur français († 24 novembre 1992).
          o Freddie King, guitariste et chanteur américain († 28 décembre 1976).
          o Lucien Muller, footballeur et entraîneur français
    * 1935 : Irina Ionesco, photographe française
    * 1936 :
          o Zine el-Abidine Ben Ali, président tunisien
          o Kazuo Umezu, dessinateur japonais
    * 1937 : Carmelo Bene, acteur, écrivain, réalisateur et metteur en scène italien († 16 mars 2002).
    * 1938 :
          o Ryōji Noyori, chimiste japonais, prix Nobel de chimie en 2001
          o Eileen Brennan, actrice américaine
    * 1939 : Vivi Bak, chanteuse, actrice, animatrice de télévision et écrivain danoise.
    * 1940 :
          o Macha Méril, actrice française.
          o Maxime Gremetz, homme politique français.
          o Eduardo Galeano, écrivain et journaliste uruguayen
    * 1942 :
          o Al Jardine, guitariste du groupe Beach Boys
          o John Shrapnel, acteur britannique
    * 1943 : Valerie Perrine, actrice et mannequin américain
    * 1944 : Sherwood C. Spring, astronaute américain
    * 1946 :
          o Gilbert Coullier, producteur de musique français
          o Minoru Arakawa, dirigeant de Nintendo
          o Brian Ashton, sélectionneur de l'équipe anglaise de rugby à XV
          o René Pijnen, coureur cycliste néerlandais
    * 1947 :
          o Gérard Houllier, entraîneur de football français
          o Kjell Magne Bondevik, théologien et politicien norvégien
          o Isabelle Mayereau, chanteuse française
    * 1948 :
          o Éva Darlan, actrice française.
          o Levy Mwanawasa, président de la République de Zambie († 19 août 2008).
    * 1949 :
          o Pierre VII Papapetrou d'Alexandrie, pape et patriarche orthodoxe d'Alexandrie et de toute l'Afrique († 11 septembre 2004).
          o Gilles Béhat, réalisateur et scénariste français.
          o Volker Kauder, homme politique allemand
          o José Pekerman, entraîneur de football argentin
    * 1950 : Jean-Pierre Abelin, homme politique français.
    * 1951 : Anthony Correa, acteur américain
    * 1952 : François Emmanuel, écrivain belge.
    * 1953 : Jean-Pierre Jeunet, réalisateur français.
    * 1955 :
          o Bernard Viviès, joueur de rugby à XV français.
          o Pierre Malet, acteur français.
          o Steve Jones, guitariste et chanteur britannique
          o Cocoa Tea, auteur-interprète de reggae et de dancehall.
    * 1960 :
          o Luc Barthassat, homme politique suisse.
          o Perry Bamonte, guitariste et claviériste britannique
    * 1963 :
          o Amber Lynn, actrice pornographique américaine
          o Mike Wallace, homme politique canadien
          o Muriel Hermine, nageuse française (natation synchronisée).
    * 1964 :
          o Holt McCallany, acteur américain
          o Adam Curry, personnalité de radiodiffusion et Internet
    * 1965 :
          o Charlie Sheen, acteur américain
          o Costas Mandylor, acteur australien
          o Vilborg Davíðsdóttir, écrivain et journaliste islandaise
          o Stefan Dohr, corniste allemand.
    * 1967 :
          o Marc Joulaud, homme politique français.
          o Luc Brunschwig, scénariste de bandes dessinées français.
          o Replicant, compositeur de musiques de film français
    * 1968 : Christophe Mengin, coureur cycliste français.
    * 1969 :
          o John Fugelsang, acteur américain
          o Hidehiko Yoshida, judoka japonais.
          o Robert Karlsson, golfeur suédois.
          o Jörg Müller, pilote automobile allemand.
          o Noah Baumbach, réalisateur américain.
    * 1971 : Kiran Desai, écrivain indien.
    * 1972 : Martin Straka, joueur de hockey tchèque
    * 1973 :
          o Damon Stoudamire, joueur de basket-ball américain
          o Jennifer Paige, compositrice et chanteuse américaine
          o Norihiko Hibino, musicien japonais
          o Vincent Trintignant, acteur et scénariste français
    * 1974 : Martin Gerber, joueur de hockey sur glace suisse.
    * 1975 :
          o Cristobal Huet, joueur de hockey français.
          o Alexander Onischuk, grand-maître d'échecs américain
    * 1976 :
          o Vivek Oberoi, acteur indien
          o Samuel Kuffour, footballeur ghanéen
    * 1978 :
          o Nichole Hiltz, actrice américaine
          o Michal Rozsíval, joueur de hockey sur glace tchèque.
    * 1977 : Guillaume Long, dessinateur et scénariste suisse
    * 1979 :
          o Tomo Miličević, guitariste du groupe 30 Seconds to Mars
          o Júlio César, footballeur brésilien
          o Stian Eckhoff, biathlète norvégien
    * 1980 :
          o Jason McCaslin, bassiste du groupe canadien Sum 41.
          o James Hille, musicien canadien
    * 1981 : Gautier Capuçon, violoncelliste français
    * 1983 :
          o Alexander Klaws, chanteur allemand
          o Eko Fresh, rappeur allemand d'origine turque
    * 1984 : Garrett Hedlund, acteur américain
    * 1985 : Thibault Vaneck, acteur français.
    * 1988 : Marine Debauve, gymnaste française

Décès

    * 1057 : Renaud Ier, comte de Bourgogne (° v. 990).
    * 1231 : Guillaume II, seigneur de Dampierre
    * 1263 : Hartmann V de Kibourg, aristocrate suisse
    * 1328 : Castruccio Castracani, duc de Lucques
    * 1402 : Jean-Galéas Visconti, duc de Milan
    * 1420 : Robert Stuart, duc d’Albany.
    * 1467 : Aliénor de Portugal, épouse de l'empereur Frédéric III du Saint-Empire.
    * 1575 : Federico Commandino, humaniste et mathématicien italien.
    * 1592 : Robert Greene, dramaturge, poète et pamphletiste anglais.
    * 1634 : Edward Coke, jurisconsulte anglais
    * 1651 : Giovanni Giacomo Panciroli, homme d'Église italien
    * 1653 : Claude Saumaise, humaniste et philologue français.
    * 1658 : Oliver Cromwell, Lord Protecteur d'Angleterre (° 1599)
    * 1669 : Esteban Manuel de Villegas, poète bucolique espagnol
    * 1711 : Élisabeth-Sophie Chéron, peintre sur émail et graveuse française
    * 1714 : Pietro Antonio Fiocco, compositeur italien
    * 1720 : Henri de Massue, officier et diplomate français.
    * 1729 : Jean Hardouin, [érudit français
    * 1730 : Marie-Louise-Charlotte de Pelard de Givry de Fontaines, femme de lettres française
    * 1732 : Pierre Baux, médecin français
    * 1769 : Paul-Alexandre Guenet, évêque français
    * 1792 : Marie-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe (° 1749)
    * 1802 : Antoine Richepanse, général français
    * 1808 : Philip Gidley King, officier de marine et administrateur colonial britannique.
    * 1857 : John McLoughlin commerçant en fourrures et un des fondateurs de l'Oregon.
    * 1869 : Constantin, prince-souverain de Hohenzollern-Hechingen.
    * 1872 :
          o Paul-Camille von Denis, ingénieur français.
          o Anders Sandøe Ørsted, botaniste danois
    * 1877 : Adolphe Thiers, avocat, journaliste, historien et homme politique français.
    * 1883 : Ivan Tourgueniev, écrivain russe (° 1818)
    * 1890 : Alexandre Chatrian, écrivain français
    * 1914 : Albéric Magnard, compositeur français
    * 1916 : Armand du Paty de Clam, officier français chargé de l'instruction préliminaire de l'affaire Dreyfus
    * 1918 : Fanny Kaplan, militante du Parti socialiste-révolutionnaire russe
    * 1931 : Franz Schalk, chef d'orchestre autrichien
    * 1932 : Pavel Morozov, jeune paysan soviétique, icône du communisme
    * 1939 : Edward Westermarck, anthropologue finlandais
    * 1940 : Henri Lavedan, écrivain français
    * 1941 : Alexandre Iline-Jenevski, joueur d'échecs russe
    * 1948 :
          o Edvard Beneš, fondateur et Président de la Tchécoslovaquie (° 1884)
          o Mutt Carey, cornettiste et trompettiste de jazz américain
    * 1950 : Traian Vuia, inventeur roumain
    * 1951 : Serge Voronoff, chirurgien français
    * 1954 :
          o Eugene Pallette, acteur américain
          o Maríka Kotopoúli, comédienne grecque.
    * 1962 : E. E. Cummings, poète, écrivain et peintre américain
    * 1963 : Louis MacNeice, poète et dramaturge irlandais.
    * 1964 : Joseph Marx, compositeur autrichien
    * 1965 : Otto Lederer, acteur et réalisateur américain.
    * 1966 : Cécile Sorel, comédienne française
    * 1967 :
          o James Dunn, acteur américain (° 1905)
          o Francis Ouimet, golfeur américain
    * 1968 : Fritz Pauli, peintre suisse
    * 1970 :
          o Vince Lombardi, entraîneur de football américain (° 1913)
          o Alan Wilson, musicien américain (° 1943)
    * 1974 : Harry Partch, compositeur et fabricant d'instruments américain
    * 1975 : Pierre Le Roux, français, linguiste et professeur de breton.
    * 1979 : Pierre Maheu, écrivain, producteur, scénariste, réalisateur et acteur canadien
    * 1982 :
          o Ellery Queen, écrivain américain
          o Carlo Alberto Dalla Chiesa, général des Carabiniers italiens.
    * 1985 :
          o Gilles Thomas (née Héliane Grimaître), écrivain de science-fiction français.
          o Jo Jones, batteur de jazz américain
    * 1987 : Morton Feldman, compositeur américain. (° 12 janvier 1926).
    * 1991 : Frank Capra, réalisateur, scénariste et producteur américain (° 1897)
    * 1992 : Bruno Bjelinski, compositeur croate.
    * 1994 :
          o Billy Wright, footballeur anglais
          o Nikos Khatzikyriakos-Ghikas, peintre, sculpteur, graveur et écrivain grec.
    * 1995 :
          o Léo Lapara, acteur français.
          o Said Tazrout, journaliste algérien d'origine kabyle.
    * 1996 : Veniamine Basner, compositeur russe
    * 2002 : James Stinson, compositeur de musique électronique américain.
    * 2003 : Gérard Thibault, impresario et restaurateur québécois (° 1917)
    * 2004 : André Stil, écrivain français.
    * 2005 : William Rehnquist, américain, président de la Cour Suprême.
    * 2006 : Jacqueline Doyen, actrice française
    * 2007 : Jacques Pelletier, homme politique français.

Célébrations

    * Pas de journée internationale répertoriée pour cette date[1].
    * Australie : Flag Day (Fête du drapeau).
    * Canada : Canadian Merchant Navy Day (Fête de la marine marchande canadienne).
    * Qatar : Anniversaire de l'indépendance (1971).
    * Christianisme
          o Dans le lectionnaire de Jérusalem, station à Thamnachar (sans doute confusion avec la station de la veille), mémoire des prêtres Aaron, Phinès (voir Pin'has (parasha)), Éliazar, lecture de Nb. 20, 25-29; Nb. 25, 5-13.

Saints des Églises chrétiennes
Saints catholiques[2] et orthodoxes[3] du jour

    * Aigulphe († ?), Aigulphe de Lérins, abbé.
    * Chrodegang († 775), Chrodegang de Sées, évêque de Séez, martyr.
    * Mansuy (IVe siècle), Mansuy de Toul, évêque de Toul.

Prénoms du jour

Bonne fête aux :

    * Grégoire, au calendrier civil 2009, et ses dérivés : Greg, Grégor, Grégory, etc.

Et aussi aux :

    * Remacle.

Traditions et superstitions
Astrologie

    * Signe du zodiaque : 11e jour du signe astrologique de la Vierge.

Dicton

    * « Pluie du jour de Saint-Grégoire, autant de vin de plus à boire. »[6]

Sources et références

   1. ↑ journee-mondiale.com [archive] : 3 septembre
   2. ↑ a et b Nominis : calendrier grégorien des saints et prénoms chrétiens du 3 septembre [archive]
   3. ↑ a et b Forum orthodoxe.com : saints pour le 3 septembre du calendrier ecclésiastique orthodoxe [archive]
   4. ↑ Les saints du calendrier et les dictons [archive]
   5. ↑ Anne-Christine Beauviala, Météo et dictons régionaux, Éd. Christine Bonneton, 2010.
   6. ↑ Gabrielle Cosson, Almanach des dictons météorologiques, Éditions Larousse, Paris, 2003

http://fr.wikipedia.org/wiki/3_septembre